Qui veut voir le film Oss 117 : Rio Ne Répond Plus ???
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Plus d’action, plus de bourdes, plus d’humour… L’espion le plus stupide et le plus hilarant du monde sème la panique à Rio de Janeiro sur les traces d’un criminel nazi. Jean Dujardin se glisse à nouveau avec délices dans le costume de cet agent secret ringard, inculte et prétentieux. Intrigue, action mais aussi amour et chagrin sont au rendez-vous !
Résumé
Douze ans après avoir envoyé Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117, en mission au Caire, les services secrets français le chargent de récupérer un microfilm compromettant puisque renfermant la liste des hauts fonctionnaires de l’État ayant collaboré avec le IIIe Reich. L’ancien responsable nazi qui avait contacté les services secrets pour leur donner le microfilm a exigé de la remettre en mains propres à OSS 117 à Rio de Janeiro. À peine arrivé, Hubert est capturé par des agents du Mossad israélien. Ils lui demandent de coopérer avec eux car ils veulent arrêter le criminel de guerre et le traduire en justice dans leur pays. Hubert est réticent jusqu’à ce qu’on lui présente l’agent israélien avec lequel il va devoir faire équipe : la belle et piquante Dolorès. Sur les plages ensoleillées de Copacabana comme dans les luxuriantes forêts amazoniennes, OSS 117 va sortir le grand jeu pour l’impressionner. Jean Dujardin enfile de nouveau son costume d’agent secret le plus bête et le plus drôle du monde. Les scénaristes en font un crétin magnifique, sûr de son talent et de son élégance, fier de ses origines et de sa virilité. Et se moquent de ses a priori racistes pour nous faire rire. Quitte à être politiquement incorrects. « Nous voulions garder la dimension “vanne interdite” du premier OSS 117. Son côté vaguement raciste, en tout cas inculte, ignare et supérieur, raconte Michel Hazanavicius. En écrivant une suite, nous avons voulu apporter de l’inattendu et en même temps respecter le rendez-vous qu’on donne au spectateur. » D’où un scénario plus exotique où l’action est plus présente. « Tout ça dans une esthétique qui rend hommage aux films des années 60 », conclut-il. |